apparaître de nouvelles tendances. Ces divers courants viennent encore d'Angleterre. Le premier est le rock revival anglais (Crazy Cavan, Flyin' Saucers, Matchbox...) et le deuxième est axé sur une vision défaitiste de l'avenir : le punk.

 

Le mouvement punk sera brillamment initié par les Sex Pistols fondé par son leader déjanté Sid Vicious. Ce groupe fera un passage marquant mais éphémère   (1975 à 1978).  C'est

justement après avoir entendu les Sex Pistols que le jeune John Graham Mellor, qui dirige alors le groupe The 101'ers et joue du rythm and blues, accepte l'offre de rejoindre Mick Jones et Paul Simonon, en galère avec leur band au nom provocateur : The London SS. John deviendra Joe Strummer, chanteur et leader d'une nouvelle formation : The Clash. En français : l'émeute. On est en 76, Joe (chanteur),  Mick Jones (guitariste), Paul Simonon (bassiste) et Topper Headon   (batteur)   forment   le

 

 

a fin des années 50 aux USA sonna le glas pour ce bon vieux rock et ses pionniers. Heureusement, l'Europe, et en particulier l'Angleterre, l'ont aidé à survivre au début des sixties avant qu'apparaisse un nouveau mouvement, le british beat, et ses deux fils conducteurs, les Stones et les Beatles. Mais déjà à  la  fin des

60's, un autre courant les supplante, la pop, avec comme fers de lance Deep Purple, Black Sabbath, Led Zeppelin, Ten Years After, Alice Cooper, etc... En fait, le terme pop était purement commercial et ne correspondait pas à la réelle étiquette de ces groupes qui, pour certains, assuraient la continuité du blues. Le milieu des    années   70   voit   ensuite

 

 
 

Texte - photos archives : Claude Speisser

 
 

(suite dans la partie 2).