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pour le soleil corse, ses parents ayant décidé de s'expatrier. C'est à cette période qu'il se met à taquiner la batterie. A 15 ans, celui qui deviendra Tony Marlow commence à gagner sa vie en jouant de la musique, pendant ses vacances !
C'est une belle expérience pour le jeune Gérard qui flashe sur l'album Live in Las Vegas d'Elvis Presley. On est en 1970 et cette passion pour le King ne le quittera jamais. Mais notre jeune batteur découvre en même temps les autres monuments du rock comme Eddie Cochran, Gene Vincent, Chuck Berry, Buddy Holly, Little Richard, Jerry Lee Lewis,
Bill Haley, etc ... Cette découverte s'en
accompagne d'une autre : la moto. Celle de sa petite soeur va lui permettre de faire ses premières armes sur un deux-roues. Mais sans le permis, l'apprentissage sera de
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PARIS L'ATTEND
A 20 ans, Gérard s'émancipe et monte à la capitale. Son amour pour le rock lui fait fréquenter des endroits mythiques comme le Golf Drouot, l'Open Market ou le Elvis treat me nice club. En 1976, il devient batteur pour Victor Leed, l'Elvis Presley français de l'époque. Mais Gérard veut son groupe de rockabilly
et, en 1977, il forme les Rockin' Rebels. Il lui faut un nom de scène : ce sera Tony Marlow en hommage à l'Amérique des années 40 et de l'après-guerre et ses acteurs vedettes tel Clark Gable.
La machine est en route. Hormis les compos de Tony, les Rockin' Rebels puisent dans les perles US, le One hand loose de Charlie Feathers ou Put your cat clothes on de Carl Perkins. Les concerts s'enchainent, et la rencontre avec Aldo Martinez (ex-Chaussettes noires) donne naissance au hit Branche le poste.
La notoriété est au rendez-vous et permet ainsi à Tony et son groupe de jouer avec les plus grands du rock : les Stray Cats, Mac Curtis, J-L Cochran, etc ...
Tony continue parrallèlement à accompagner des vedettes
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